Noël 2025 #3 : des cadeaux japonais en tous genres !
Après vous avoir dévoilé des romans, des guides et des jeux sous le signe du Japon pour votre Noël 2025, il nous restait encore plein d’idées pour le pied du sapin, le mois prochain. Avant de finir en beauté avec une sélection d’artbooks et un calendrier de l’avent sur Instagram, voici notre sélection de cadeaux du Japon en tous genres : manga, film, gastronomie et goodies sont de la partie !!
Goldorak a 50 ans, et il est en forme !

On débute avec le grand robot cornu, un des premiers et puissants ambassadeurs de la culture pop japonaise en France, où il a atterri en anime en 1978. C’est aujourd’hui le manga de UFO ROBOT GOLDORAK, en version intégrale, qui sort chez Isan Manga dans une édition complète en un seul tome avec pages couleurs, histoires inédites et postface pour les nostalgiques et connaisseurs.
À la suite de la destruction de la planète Euphor par l’empire de Véga, le prince Actarus s’écrase sur la Terre. Recueilli par le professeur Procyon, il vit désormais au ranch du Bouleau Blanc. Mais l’invasion de la planète Terre par l’armée de Véga est imminente, et pour Actarus, l’heure de la revanche a sonné ! Aidé d’Alcor, il devra faire face aux attaques des terribles Golgoths, envoyés pour détruire le dernier survivant d’Euphor et son mythique robot, Goldorak.
Pour les 50 ans de sa création au Japon, le manga de Gô Nagai est disponible en deux versions, toutes deux au prix de 34,99 euros, dans un grand format 170 x 240 mm et avec un papier plus qualitatif :
VERSION STANDARD – Edition Rouge : pour les âmes nostalgiques, cette édition reprend les noms et les attaques de la traduction française de l’anime (Actarus, Alcor, Fulguro-poing, etc.).
VERSION GRENDIZER – Edition Bleue : Original name edition. Pour ceux cherchant la version la plus proche de la version japonaise, avec les noms originaux.(Duke Fleed, Kôji Kabuto, Screw Crusher Punch, etc.).
Nous avons pu nous replonger, avec l’édition Rouge, dans les 384 pages de l’histoire originale. Ayant découvert la série, comme toute une génération, par l’adaptation animée, il est amusant de retrouver les personnages phares comme Actarus ou Alcor bien sûr mais aussi Hydargos, Minos et les autres. On est rapidement surpris par des chapitres qui vont à l’essentiel, de manière parfois abrupte : à peine le golgoth débarque qu’il est mis en pièces par Goldorak ! Idem pour les évolutions des vaisseaux d’Alcor et de Vénusia, qui arrivent sans préambule dans le récit.
On comprend alors que Gô Nagai a fait de chaque chapitre de Goldorak une vraie pièce de théâtre qui ne s’encombre pas des fioritures mais met plutôt en exergue l’action, l’intensité des émotions et la détermination de ses protagonistes.

©Go Nagai · Yu Okazaki · Dynamic Planning All Rights Reserved.

©Go Nagai · Yu Okazaki · Dynamic Planning All Rights Reserved.
On retrouve donc à la fois les scènes clés du Goldorak de notre enfance, avec quelques planches très charismatiques dont certaines en couleurs, et on le savoure un peu différemment, dans une relecture attendrissante de nos souvenirs et de nous-mêmes.
Spy X Family, parce qu’on n’en a jamais trop ?

La série Spy X Family de Tatsuya Endô fait partie des mangas et anime les plus populaires de ces dernières années et son éditeur japonais, Shûeisha, ne se prive pas pour déployer généreusement sa licence au Japon comme en France, où il s’en est déjà écoulé plusieurs millions d’exemplaires. Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore la petite Anya et sa famille pas comme les autres, un rapide résumé :
C’est la guerre froide entre l’est et l’ouest, et une paix précaire a été établie entre les nations d’Ostania et Westalis. Cet accord demeurant fragile, Twilight, un brillant espion de Westalis opérant à Ostania, est chargé de mener à bien l’opération Strix. Celle-ci consiste à se rapprocher d’un politicien extrémiste d’Ostania : Donovan Desmond. Twilight se voit contraint d’adopter un enfant et de l’inscrire à la prestigieuse école Eden, que le fils de Desmond fréquente également. Il croise ainsi la route d’Anya, une fillette qui peut lire les pensées des autres et qui est passionnée par le monde de l’espionnage. Mais pour rentrer à Eden, Twilight n’a d’autre choix que de trouver une femme qui pourra endosser le rôle d’épouse : ce sera Yor Briar, une discrète fonctionnaire de mairie, qui est en réalité une tueuse professionnelle opérant sous le nom de code « Princesse Ibara » et qui cherche un homme pour préserver sa couverture. Tous trois commencent ainsi à vivre comme une famille improvisée, cachant chacun leur véritable identité aux yeux des autres.
Pour les fêtes Spy x Family s’illustre tout d’abord aux éditions Kurokawa, grâce à son tome 15 édition collector, sous la forme d’un petit cartable qui contient de nombreux goodies très alléchants : le tome 15 lui-même bien sûr, avec une jaquette exclusive et très joliment automnale, 3 ex-libris métallisés dont un d’Anya qui nous a tapé dans l’œil, une trousse Anya qui ne quittera plus notre bureau (ou celui de votre enfant qui va la vouloir, c’est certain), une règle qui va avec et qui est de bonne facture… et enfin quelques autres goodies plus anecdotiques comme des pin’s, une boîte à crayon et un écusson thermocollant. Le tout pour 26,99 euros, ce qui en fait le coffret pour les fans qui veulent se faire plaisir, et qui ne seront pas déçus.

Et comme Kurokowa, collection manga de Univers Poche, appartient à la même maison mère que les éditions 404 (c’est à dire le groupe Editis), on retrouve régulièrement des goodies Spy X Family chez 404, comme un jeu de cartes qui nous avait bien amusé l’an dernier. Pour 2025, ou plutôt pour l’année 2026 à venir, on nous propose plus sobre, mais néanmoins efficace : une éphéméride 2026 dédiée à la série.
Chaque jour vous découvrez au choix un petit jeu (mots croisés, labyrinthes, codes secrets, etc.), un quiz sur la série et plus particulièrement la saison 2 (une bonne excuse pour la revoir en famille, avant d’attaquer la saison 3), mais aussi des recettes, des imagiers bilingues pour apprendre quelques mots dans la langue de Tezuka, des missions et des fiches infos. Toutes les journées ne s’annoncent pas aussi palpitantes les unes que les autres – sur 365 jours, ça peut se comprendre – mais à 12,95 euros, c’est une bonne idée pour 2-3 minutes de fun tous les jours en 2026.
Une princesse pour les fêtes
Les occasions de lire un bon Tezuka ne manquent pas, de le découvrir ou de le re-découvrir non plus. C’est ce que propose une fois de plus les éditions Delcourt-Tonkam, grâce à la réédition de Princesse Saphir, derniére née de la sublime collection Prestige dédiée au maître, qui nous a déjà offert Le roi Léo, Phénix, L’histoire des 3 Adolf et bien d’autres. Le premier tome est disponible depuis début novembre, et un second sortira en mai 2026.

À sa naissance, la princesse Saphir, victime d’un ange taquin, n’a de féminin que le corps et possède deux cœurs : un masculin et un féminin. Héritière de la famille royale et né(e) en tant que garçon sur un malentendu qui arrange bien sa famille, elle est éduquée comme un garçon, et devra accomplir sa destinée : assurer la succession de la couronne. Mais saura-t-elle déjouer les pièges que lui tendront le duc Duralmine et son sbire afin de la démasquer ? Pourra–t-elle les empêcher d’asseoir Plastic, le fils du duc, sur le trône ? Et quid de son identité ? Quid de l’amour ?!
Avec sa délicate couverture violette et rose, son grand format et son édition qualitative, on prend plaisir à replonger dans cette œuvre phare et novatrice de Tezuka. Princesse Saphir mélange des classiques de la fantasy et du conte de fées très dysnéen, avec la princesse, une sorcière, la mort du père, des méchants très manichéens au premier abord et une mise en scène théâtrale et pleine de symbole. Mais Tezuka y apporte toute la richesse typique de ses œuvres : le dilemme du genre au centre du récit, la quête de l’identité (y compris chez l’ange Taquin, Tink ou chez la fille de la sorcière, Hekate), et une bonne dose d’humanité qui se dévoile au fur et à mesure que les chapitres s’enchaînent…
Initialement prépublié entre 1953 et 1956 dans le magazine Shôjo Club, Princesse Saphir est une oeuvre marquante pour son époque et, sous son dessin que l’on pourrait juger vieillot ou vintage selon le lecteur que l’on est, elle renferme des personnages passionnants et des messages universels… à lire et à relire !
Toutes les informations sur le site des éditions Delcourt-Tonkam.
De quoi être beau des pieds !
Vous en avez assez d’offrir des livres, des chocolats ou des coffrets de séries TV qui vont prendre la poussière après avoir été visionnées une fois ? JDJ a la solution ! Avec ses sushis et makis géants, ses baguettes et ses petites boulettes de riz, cet excellent trompe-l’œil est en fait un assortiment de 5 paires de chaussettes en coton de différentes couleurs et motifs.
Douces et confortables, elles feront un cadeau à la fois amusant, utile et appréciable, avec leurs motifs plus ou moins sobres. Petit détail à noter absolument cependant, elles ne sont disponibles qu’en taille 38-42, attention donc. Elles sont disponibles dans une boutique officielle sur Amazon mais vous pourrez également les trouver sur d’autres sites marchands comme Temu ou Shein.

Vous pouvez vous le procurer sur Amazon.
Sakura densha
Aimez-vous les puzzles et maquettes ? Si c’est le cas, vous pourriez tomber sous le charme de ce puzzle 3D, qui reproduit un tramway japonais. De fort belle qualité, il est disponible en trois versions plus ou moins modernes visuellement, mais c’est celle présentée ici qui nous a le plus attirés. Le puzzle est fourni avec une notice très détaillée qui recense toutes les pièces, qui sont numérotées afin de les assembler correctement et dans le bon ordre. Attention donc à ne pas zapper d’étapes, petits sacripants !
Destinée aux 14 ans minimum, cette maquette ne nécessite ni colle ni peinture et peut prendre entre 3 et 8 heures pour être montée, à votre rythme et sans vous presser. Des petites piles de 1,5 volts sont fournies pour l’éclairer et la rendre encore plus jolie à regarder et exposer, et elle peut également être branchée en USB. Petit bonus (vendu séparément, bien sûr…), il existe même une petite vitrine dans laquelle l’exposer si jamais vous ne souhaitez pas vous prendre la tête avec la poussière.
Ce fabricant ne s’est pas arrêté à ce modèle mais en a conçu d’autres, comme une pagode japonaise du plus bel effet : si vous aimez les puzzles et le Japon (le contraire serait étonnant si vous lisez JDJ), c’est un cadeau qui ne pourra que faire plaisir !

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Un book nook gourmand
Restons dans les objets à construire avec ce book nook inspiré d’un restaurant japonais ! Mais tout d’abord, qu’est-ce qu’un book nook, exactement ? Ces petites scènes miniatures glissées entre deux livres sont devenues des objets déco irrésistibles. Ils transforment une bibliothèque en fenêtre ouverte sur un autre monde : une ruelle nocturne, un paysage magnifique… ou une plongée dans un paysage japonais. Le modèle Morita-ya, que nous présentons ici, s’inspire d’une authentique échoppe de ramen telle qu’on en croise à chaque coin de rue au Japon, mais de nombreux autres modèles existent.
Ce kit est idéal, tant pour les débutants que pour les adeptes d’arts manuels. Contrairement à d’autres kits parfois complexes, le Morita-ya ne demande presque aucune manipulation délicate : la plupart des éléments se clipsent simplement, sans longues sessions de collage ni manipulation de pièces minuscules. Il suffit d’assembler pas à pas et la scène prend forme presque toute seule. En effet, la difficulté est de 2 sur 5 et il vous faudra environ 3 à 5 heures pour terminer la construction.
Et malgré cette simplicité, l’ensemble regorge de détails : on repère des onigiris prêts à être servis, des bouteilles de sauce soja, des menus horizontaux au-dessus du comptoir, des affiches typiques sur les murs… et même une lumière LED aux couleurs chatoyantes (piles non fournies). Tout rappelle l’atmosphère authentique des ramen-shops japonais.
C’est un cadeau parfait pour les saisons froides, où l’on aime rester au chaud sous un plaid, une série en fond, en laissant ses mains assembler un petit morceau de Japon !

Vous pouvez vous le procurer sur Amazon.
Quand Boichi vous apprend à dessiner…

On revient à du manga mais pour un livre pas comme les autres : un cours de dessin par un maître du genre, le mangaka de Sun-Ken Rock ou Dr Stone (et plus encore) : Boichi !
Alors, on vous l’accorde, ce n’est pas le premier livre de dessin fait par un mangaka, et encore moins le premier livre de dessin tout court… MAIS ! Oui, il y a un mais. Bien souvent les livres de ce genre vous font la même liste : comment dessiner les yeux, les cheveux puis le visage en général, les émotions, suivies du corps de garçon, celui de fille, des vêtements de base, et vous font un topo rapide sur les notions de mouvement avec les lignes de force et les onomatopées, éventuellement. Boichi, ici, vous emmène à un tout autre niveau.
Dans ce livre intitulé Les secrets du dessin manga de Boichi, le mangaka se met en scène, avec un auteur débutant : un petit alien qui veut réussir sur Terre en perçant dans le manga grâce à des personnages ultra stylés ! Boichi va alors lui parler des techniques et des astuces qui font toute la différence : comment choisir un bon angle, un bon éclairage, quelles sont les bonnes proportions d’un corps pour un héros et comment on peut jouer avec pour créer sa némésis. Mais aussi quel est l’angle à choisir pour telle ou telle émotion, pour tel ou tel moment clé, comme la victoire du héros. On vous parle aussi des grands personnages classiques du shônen et du seinen d’action : le mentor, le grand ami, le clown de service et toute une panoplie d’anti-héros, avec à chaque fois une réflexion qui allie scénario et dessin. Le tout fourmille de détail et en fait un véritable puits d’inspirations.
Bien évidemment Boichi parle de technique de fondamentale mais, vu le niveau de dessin qu’il a atteint, il y va sans prendre de gants : il faudra connaître et savoir représenter tous les os et tous les muscles du corps humains en les dessinant, les redessinant, encore et encore jusqu’à avoir les mains en bouillie s’il le faut, car même si cela est hyper dur et que cela semble impossible il n’y a pas d’autre moyen… et cela finit par payer. Ah et, puisque c’est Boichi, vous aurez aussi droit à ses recettes persos pour mettre en scène des moments et des planches des plus affriolantes, on bien les rudiments pour réaliser les humanoïdes ou des monstres dignes de la fin du monde. Et mine de rien, ce n’est pas commun non plus dans ce genre d’ouvrage.
Mû par une réelle volonté de participer à la démocratisation du manga à l’international, car il est conscient que les écoles de mangaka sont au Japon et rarement ailleurs, Boichi nous propose donc un livre très instructif pour tout ceux qui, un jour, espèrent bien suivre son chemin !


À retrouver aux éditions Doki Doki, au prix de 14,90 euros. Plus d’informations sur le site des éditions Doki Doki.
Et pourquoi pas un tonneau de sake ?

En partenariat avec le Toulouse Sake Club que nous avons rencontré en début de mois, on vous propose une touche gastronomique : pourquoi ne pas offrir ou vous offrir un tonneau de sake Sempuku Karakuchi ?!
Sec et rafraîchissant, ce sake riche en umami produit dans la région de Hiroshima est très facile à boire et accompagnera aussi bien l’apéritif que vos plats cuisinés. Conditionné sous la forme d’un beau petit tonnelet de forme traditionnelle, c’est un cadeau idéal pour tous les amoureux du Japon. Une fois le délicieux sake savouré, le tonnelet peut être conservé en tant que pièce décorative, ajoutant une touche d’authenticité à tout intérieur
La Maison Miyake fut fondée en 1856 dans la ville côtière de Kure. À l’origine, elle produisait du mirin et du shôchû, et ne se lance dans la production de sake qu’en 1902. Devenue dans les années 20 fournisseuse officielle de la marine japonaise, ses sake ont acquis une grande notoriété dans tout le pays.
Le Conseil du Sake Sommelier : il s’accordera très bien avec un sashimi de poisson à chair blanche ou du poisson grillé. Si vous le servez chauffé, dégustez-le avec un ragoût de bœuf ou de l’anguille.
Il vous attend sur le site du TSC : tonneau de sake Sempuku Karakuchi.
Pour changer des romances de Noël : de l’action à l’état brut !
Plus qu’un film d’action, ce coffret renferme un pan majeur dans l’histoire du marché vidéo des années 90. Réalisé par Toshimichi Okawa (qui travailla aussi sur les deux suites), le film sorti en 1989 avait bénéficié d’une sortie directement accessible en VHS. Ce qui permit aux video-clubs de se dispenser du délais d’attente habituel après les sorties cinémas, les ventes de places dans les années 80 ayant été en baisse. À savoir que le terme V-Cinema est une marque déposée par Toei Company. Parmi le catalogue de Roboto , notre choix s’est porté sur le premier long métrage de cette compagnie ayant profité du format Direct-to-video (ou DTV).

Crime Hunter : City of Rage raconte la quête de vengeance de Joker, un policier ayant vu mourir son jeune coéquipier alors qu’ils s’apprêtaient à capturer un criminel du nom de Bruce, qui a volé une importante somme d’argent à une église. Alors que Joker tente de retrouver la piste de Bruce, une religieuse s’implique dans ses recherches pour récupérer les 5 millions de dollars de son église. Joker va découvrir que la jeune femme a des raisons bien personnelles pour retrouver le voleur, et que ce dernier a l’air d’en savoir beaucoup sur les assassins de son coéquipier.
Le film de Okawa se concentre sur l’action et une intrigue simple. Chaque scène expose des confrontations ou des dialogues servant l’enquête de Joker. Le long-métrage dure ainsi moins d’une heure, sans développer les psychologies des personnages ni complexifier les recherches du policier.
Si vous souhaitez un film mettant davantage l’accent sur les confrontations explosives que sur un thriller complexe ou un slow-life contemplatif, Crime Hunter comblera parfaitement votre programme télé de fin d’année… Sans oublier ses contenus bonus comprenant les commentaires et l’interview du réalisateur et une présentation du V-Cinema. Prêt à vous replonger dans l’ambiance des polars des années 80-90 ?
Le coffret du premier film Crime Hunter est accessible depuis le site de Roboto.
Voilà donc comment s’achève notre épisode original et un peu fourre-tout des cadeaux du Japon qui nous ont attirés et/ou amusés. Pensez à jeter un coup d’œil à nos autres sélections pour les fêtes et bon courage pour votre shopping de Noël !
