Étiqueté : Hirokazu Kore-eda
Du 5 au 18 juin, allez découvrir ou revoir des films japonais dans les salles obscures à Paris comme en province grâce au nouveau festival de cinéma Les saisons Hanabi. Entre animation, drame et documentaire, la programmation offre un panel d’oeuvres de qualité. De quoi assurer dépaysement et réflexion pour ce début d’été.
Comme chaque année, décembre ne déçoit pas tant sur les sorties sur support physique que les sorties au cinéma. Plus que jamais, la famille sera mis en avant durant cette période de fête comme le dernier film de KORE-EDA ou l’émouvant film d’animation, Miraï, ma petite soeur, de Mamoru HOSADA.
Les idées de cadeaux ne manquent pas ce mois-ci !
La rétrospective OZU, le touchant A Silent Voice qui a enfin le droit à sa diffusion dans des salles françaises, ou une sortie DVD ? A vous de choisir !
Presque 30 ans de carrière qui prouve à quel point Kore-eda n’a pas peur de dire ce qu’il pense de son pays. Doux et amer : voilà le cinéma de Kore-Eda.
Juste avant sa consécration cannoise en mai dernier pour Une histoire de famille, Kore-Eda était présent dans les salles obscures avec Third Murder. Revue.
Ce mois d’avril va vous donner l’occasion de découvrir ou redécouvrir 2 réalisateurs de génies qui sont Seijun SUZUKI, dans une retrospective qui lui est consacrée et 3 films aux univers uniques, en sortie physique, de Masaaki YUASA.
Après une présentation générale du réalisateur Kiyoshi Kurosawa dans l’article du 3 mars 2018, une plongée dans le cinéma de ce réalisateur à travers la figure du fantôme qui reste le meilleur ambassadeur de son cinéma.
Voilà maintenant trois années consécutives que Journal du Japon se rend au Kinotayo à Paris pour faire le point sur le cinéma contemporain japonais. Force est de constater lors de cette douzième édition que le festival perd de sa superbe d’année en année. Lors de notre premier retour sur la sélection 2017 et de notre critique de Perfect Revolution – film en compétition cette année – nous émettions d’ores et déjà certaines réserves au sujet du palmarès et de la capacité du festival à se placer comme représentant honnête de l’état du cinéma contemporain japonais.