Lire le Japon avec les mots d’Alice Hureau

Journal du Japon vous a récemment partagé un entretien avec la traductrice Alice Hureau. Nous vous proposons aujourd’hui une sélection d’ouvrages traduits par ses soins, que nous avons lus pour vous. La jeune traductrice ayant bien plus d’une corde à son arc, des polars aux feel-goods, en passant par les livres jeunesse, il y en aura pour tous les goûts !

Frissonner avec les éditions d’Est en Ouest

Les meurtres littéraires de Yasumi KOBAYASHI

Commençons tout d’abord cette plongée dans la littérature japonaise avec la toute première traduction publiée d’Alice HUREAU : Le meurtre d’Alice de Yasumi KOBAYASHI. Une œuvre iconoclaste, entre polar et fantastique, avec une pointe d’horreur, qui plonge ses lecteurs dans l’univers décalé de Lewis CARROLL. Composé en grande partie de dialogues et très riche en intertextualité, ce roman de 250 pages se base sur la coexistence et l’interdépendance entre deux mondes : le Pays des Merveilles, où vit Alice, et la Terre, où vit Ari Kurisugawa. Alice et Ari (le « r » se prononçant « l » en japonais, Ari se lit Ali), tout comme les autres personnages, vivent dans ces deux mondes à travers leurs rêves.

Lorsque Humpty Dumpty est assassiné au Pays des Merveilles, le professeur Tamao ÔJI – son avatar dans le monde réel – meurt à son tour dans d’étranges circonstances… Et Alice est accusée.

— Pourquoi pleures-tu ? demanda le Chat.

— C’est la fin du Monde. Ce monde que j’aimais tant.

— Ce n’est que la fin d’un rêve.

— C’était notre monde.

— Mais ce n’est qu’un rêve. Un rêve est un rêve

Commence alors l’enquête d’Alice/Ari à cheval sur les deux mondes. Une enquête pour lui éviter d’être décapitée sur ordre de la reine et tenter d’arrêter la spirale meurtrière qui s’abat autour d’elle, tandis que les meurtres s’enchaînent et se rapprochent pour mieux la faire accuser. Riche en rebondissements et en surprises, cette œuvre ravira tout autant les lecteurs de polar que les amoureux de fantastique et d’absurde. Brossant un tableau des rapports humains, Le meurtre d’Alice aborde également différents sujets et problèmes sociétaux du Japon contemporain. Y sont notamment évoqués les rapports de pouvoir entre les professeurs, le harcèlement, les faits divers d’attaque au couteau, etc. Yasumi KOBAYASHI, auteur de science-fiction et d’horreur, emprunte des éléments à différents univers – dont celui du manga et des jeux vidéos – pour mieux les mêler et offrir une œuvre unique en son genre.

Alice HUREAU a également traduit Le meurtre de Clara, un polar du même romancier qui constitue une sorte de suite au Meurtre d’Alice. Nous y retrouvons le personnage de Ken IMORI, qui est cette fois-ci plongé dans l’univers des contes d’HOFFMANN. Un roman moins absurde et humoristique, plus sérieux mais tout aussi passionnant !

Couverture Des biscuits sans saveur

Des biscuits sans saveur

Penchons-nous ensuite sur un recueil de nouvelles de Ruriko KISHIDA, intitulé Des biscuits sans saveur. Six textes composent ce recueil de 170 pages. Six nouvelles cruelles qui plongent leur lecteur au plus profond de la noirceur humaine et d’une forme de folie où mène le désir de vengeance. Née à Tokyo mais expatriée en France à l’âge de treize ans, l’auteure fait régulièrement, dans les histoires qu’elle construit, des allers-retours entre les deux pays. C’est notamment le cas du tout premier texte, explicitement intitulée Le mur de Paris.

Vous serez amenés à croiser dans ces histoires parsemées d’assassinats en tous genres : deux personnes porteuses d’un lourd secret commun qui s’associent pour mieux se protéger, une femme jalouse et délaissée qui savoure sa vengeance à venir, un professeur d’université qui se retrouve pris à son propre piège, une jeune femme enceinte qui repense à une vieille affaire alors qu’elle est en train d’éventrer une souris de laboratoire, une tentative de meurtre parfait, un adultère aux très fâcheuses conséquences… Solitude, haine, folie, amour et cruauté. Dans la lignée d’Edogawa RAMPO, l’auteure de Requiem à huit clos (également publié aux éditions d’Est en Ouest) revient répandre ses ténèbres dans notre bibliothèque.

Le dénouement de chacune de ces nouvelles est très sombre, mais ce serait un honneur en tant qu’auteure qu’une fois le livre refermé, mes lecteurs soient submergés d’un plaisir comme on le serait d’un poison doux.

Ruriko KISHIDA, postface.

Moins connues que d’autres maisons d’éditions spécialisées dans la littérature japonaise, les Éditions d’Est en Ouest, créées par Isabelle NISHIKAWA en 2015, comptent de bien nombreux auteurs et genres dans son catalogue : polars, livres bilingues pour enfants, recueils de nouvelles… De quoi ravir tous les amoureux de livres et du Japon !

L’Atelier Akatombo, des polars à Mishima

Chez l’Atelier Akatombo, Alice HUREAU a tout d’abord traduit quatre romans et recueils de nouvelles noires, dont Le détective est au bar de Naomi AZUMA et Nostalgie de Kanae MINATO.

Le détective est au bar

Début d’une longue série truculente qui se déroule tout au nord du Japon, à Sapporo (ville de naissance de l’auteur), Le détective est au bar fut un succès au Japon et s’est vu plusieurs fois adapté au cinéma. Le lecteur y suit le « détective de Susukino », un anti-héros « fainéant, joueur, buveur, gouailleur, sarcastique et fier de l’être« . Ce dernier va être amené à enquêter sur une disparition et un meurtre liés au monde de la nuit et des yakuzas… Un roman noir, grinçant et humoristique qui ravira les amateurs de polar.

Nostalgie

Célèbre romancière à qui nous devons notamment Expiations, celles qui voulaient se souvenir – dont l’adaptation au cinéma par Kiyoshi KUROSAWA sous le titre Shokuzai avait percé nos écrans en 2019, Kanae MINATO nous propose avec Nostalgie six nouvelles sombres et sociétales. Harcèlement scolaire, attachement et rejet de la terre où l’on a passé son enfance, ostracisme d’une famille dont la mère a été incarcérée pour le meurtre de son mari, recherche de vérité et tentative de comprendre les secrets enfouis…

Toutes les histoires se déroulent sur la même île, fictive, qui ressemble à s’y méprendre à Innoshima, l’île où est née Kanae MINATO. Ce microcosme séparé du reste du Japon par la mer lui permet d’analyser les comportements humains à la plus petite échelle, de la famille à la communauté. Car les rapports qu’entretiennent les habitants sont bien les mêmes que l’on peut retrouver à l’échelle d’un pays. Ici, point d’enquête haletante ni de crimes organisés, ce sont davantage aux petits crimes du quotidien auxquels s’intéresse l’auteure, en brossant un portrait intéressant de la société japonaise.

Le théâtre selon Mishima

Plus récemment, c’est à des textes du célèbre Yukio MISHIMA que la traductrice s’est attaquée, par sa contribution à l’ouvrage collectif Le théâtre selon Mishima. Un coffret dans lequel elle traduit deux pièces et plusieurs courts textes. Le présent coffret est un très bel ouvrage qui permet de découvrir un pan souvent oublié du travail de Mishima : celui de dramaturge. Il est composé de Théâtre, un recueil de quatre-cent pages qui nous offre quatre pièces jusqu’alors méconnues des lecteurs français et d’Écrits sur le théâtre, qui rassemble de courts textes de Mishima au sujet de diverses pièces.

Se déroulant dans le Japon militariste de 1945, dans une plantation de café au Brésil, dans un commissariat de police de Tôkyô ou bien au cœur de la jungle cambodgienne à l’époque de la construction du temple d’Angkor, les pièces qui composent ce recueil nous plongent dans différents décors et ambiances… Pour notre plus grand bonheur !

« Même si les romans de Mishima disparaissaient, ses pièces de théâtre subsisteraient. »

Keiichirô HIRANO, quatrième de couverture

Des documents complémentaires au coffret sont à retrouver sur le site de l’éditeur.

L’Atelier Akatombo est une maison d’édition spécialisée dans la littérature japonaise, le polar, la science-fiction et le manga, dont le catalogue, fort d’une trentaine d’auteurs différents, recèle de très beaux ouvrages, que ce soit dans le fond comme dans la forme. En effet, ces livres sont toujours de belle facture et sont agrémentés de magnifiques couvertures !

Le Cosmographe : s’évader avec des auteurs japonais dès son plus jeune âge

C’est également à Alice que nous devons l’ensemble des traductions depuis le japonais, publiées chez Le Cosmographe, une petite maison d’édition multiculturelle de livres pour enfants. Nous vous proposons aujourd’hui de découvrir trois auteures jeunesse qu’elle se fait un plaisir de nous faire découvrir !

Les matous filous

Connaissez-vous Noriko KUDOH ? Auteure pour enfants et mangaka reconnue au Japon, comptant une cinquantaine de livres à son actif, sa série intitulée Les matous filous nous parvient enfin en France, pour le plaisir des plus petits ! Les matous filous, c’est une bande de huit chats espiègles et gourmands, mais pas vraiment dégourdis. Que ce soit dans un restaurant de sushis ou au pays des glaces, leur appétit les amène à jouer de mauvais tours à Maître Chien et à s’embarquer dans des aventures que l’on n’aurait pas pu soupçonner. Avec leurs illustrations aux couleurs pastel qui ne manquent pas de détails, leur mise en page énergique et leurs dialogues truculents adaptés à un jeune public, ces deux ouvrages sont à mettre sans plus tarder dans les mains des petits lecteurs de trois ans et plus !

Avec les beaux livres de Naoko MACHIDA, c’est un tout autre univers graphique que nous propose Le Cosmographe. Un seul point commun : les chats. En effet, il n’y a qu’à en juger sa page instagram : l’auteure est une grande amoureuse des compagnons félins !

Les beaux livres de Naoko MACHIDA

Avec Seul à la maison, Le chat sans nom et Entre chats, elle nous propose de découvrir le monde à hauteur de chats. Vous êtes-vous déjà demandé ce que faisait votre boule de poils en votre absence ? Ou bien ce que peut ressentir un chat errant à qui personne n’a donné de nom ? Naoko MACHIDA, oui ! Seul à la maison commence par cette petite phrase toute simple et si parlante, sous une illustration qui nous montre le héros de l’histoire, de dos, en train de regarder par la fenêtre : « L’humain est sorti ». Commence alors une journée bien remplie pour le mini-tigre. Pleine d’humour et de surprise, l’histoire nous entraîne de page en page dans son univers décalé et tendre.

« Je suis un chat. Un chat sans nom. Personne ne m’en a jamais donné ». Dans Le chat sans nom, celui que tout le monde nomme simplement « le chat » va accompagner son lecteur à la rencontre de tous ses compagnons du quartier qui, eux, sont appelés par de doux noms. Dehors, il pleut. Et son cœur aussi est plein de pluie, nous dit l’auteure… Mais le soleil n’est jamais loin, car les plus belles rencontres surviennent toujours les jours de pluie ! Les illustrations très belles, très douces et expressives raviront tout autant les enfants que leurs parents.

Entre chats est quant à lui un très joli imagier dans lequel les plus jeunes sont amenés à nommer les différences entre les chats : taille, couleur, âge, etc. L’occasion d’apprendre et de découvrir en s’amusant !

Roule, roule, petite boule

Avec Roule, roule, petite boule, Alice HUREAU nous partage la réécriture au féminin d’un conte traditionnel par Hatsue NAKAWAKI et illustré par MICAO. Nous y suivons une petite fille qui va chercher du bois en montagne avec trois dango en guise de dîner. Mais quand vient midi, ces boules de riz toutes rondes lui échappent l’une après l’autre et les voici qui roulent, roulent, roulent… Jusqu’à la maison des ogres. Heureusement, la petite fille a plus d’un tour dans son sac !!

Bien que les illustrations puissent sembler simplistes au premier abord, en y regardant de plus près, elles sont en réalité toutes réalisées en tissu et en fil… C’est à l’aide de morceaux de tissus cousus et de broderies que MICAO crée son univers, dans lequel elle joue avec les textures et les découpes. Un conte sympathique, qui met en avant le courage et la ruse d’une petite fille.

Crée en 2017 par Chloé BECQUERIAUX, Le Cosmographe comprend plus de trente publications dans son catalogue… Des livres venus du monde entier, car selon la devise de la petite maison, « être un cosmographe, c’est découvrir le monde ! ». Des livres sélectionnés avec soin pour le plaisir des plus jeunes, mais aussi de ceux qui les leur lisent. Des livres d’art, parfois, comme Murmure des mousses ou Constellation. De beaux ouvrages à offrir ou à s’offrir !

Les romans qui font du bien des éditions Nami

Couverture de Le restaurant des recettes oubliées

Chez Nami Leduc, Alice est spécialisée dans la traduction de « feel-goods », des romans tous doux qui créent une bulle de bien-être dans notre quotidien.

La série culinaire de Hisashi KASHIWAI

Il y a d’abord le délicieux Le restaurant des recettes oubliées de Hisashi KASHIWAI. Nous sillonnons les ruelles de Kyôto avant d’arriver au restaurant des KAMOGAWA, dans lequel le père Nagare et sa fille Koishi se sont donnés une mission bien à eux… Ils tentent de reproduire un plat que leur client garde en mémoire, mais dont la recette est depuis longtemps oubliée. Ancien agent de police, Nagare est devenu un véritable détective des papilles. Avec sa fille comme assistante et sous le regard bienveillant de sa femme décédée – dont le portrait accroché dans l’autel familial et l’attention qu’il continue de lui porter semble la faire encore vivre – il mène l’enquête auprès de ses clients pour mieux rassembler les témoins de cette mémoire enfouie : les ingrédients.

Couverture de : Le restaurant des recettes oubliées : deuxième service

Leur but semble tout autant de faire vivre un instant unique à chacune des personnes qui passe le pas de leur porte, que de leur permettre de prendre un nouveau départ après avoir replongé une dernière fois dans l’un de leurs plus marquants souvenirs. Les thèmes abordés à travers les raisons qui poussent les clients à demander aux KAMOGAWA de mener l’enquête (deuil, séparation, maladie, etc.) sont assez sombres. Malgré tout, la douceur des plats et des sentiments que les vivants et les bien-portants continuent d’éprouver envers ceux qui disparaissent sont si poignants que l’on se laisse porter par ces histoires, sans qu’elles ne nous pèsent sur le cœur.

Kuboyama joignit les mains en signe de remerciement, et lorsqu’il ôta le couvercle, un nuage de vapeur jaillit de la cocotte. Il saisit la cuillère en porcelaine céladon et goûta une gorgé du bouillon. Satisfait, il hocha la tête. Avec ses baguettes, il attrapa les nouilles. (…) Il mastiqua un morceau de poulet, puis grignota la pâte de poisson. A chaque bouchée, il acquiesçait.

Pour celles et ceux qui seraient tombés amoureux du petit restaurant des Kamogawa, il y a bien entendu l’occasion de reprendre un peu de douceur avec Le Restaurant des recettes oubliées : deuxième service.

Les petites pépites de Michiko AOYAMA

Michiko AOYAMA est une autre auteure-phare des éditions Nami. La bibliothèque des rêves secrets, première opus de sa série, tourne autour d’une petite bibliothèque appartenant à un centre social de quartier. C’est là que travaille Sayuri KOMACHI, une dame énigmatique, au physique imposant et à la voix douce, qui sait orienter chaque lecteur vers son propre destin.

— Un rêve ne peut pas  » se terminer  » tant qu’il existe. Il restera pour toujours un rêve magnifique. Même si tu ne le réalises pas, c’est aussi un choix de vie. Car rêver sans plan déterminé n’est pas quelque chose de mal. Ça permet de profiter pleinement de la vie. (…) Mais si tu désires savoir ce qui se trouve au-delà du rêve, alors il faut tout faire pour.

Chaque chapitre s’ouvre avec un nouveau personnage dont sont mentionnés d’emblée le nom, l’âge et la situation sociale. Tous ont en commun de découvrir la bibliothèque et de croiser Sayuri à un moment charnière de leur vie. Une vendeuse en prêt-à-porter de 21 ans qui se sent engluée dans son quotidien répétitif et solitaire, un comptable de 35 ans qui garde son rêve d’enfant dans un coin de son esprit sans trouver le courage et l’assurance pour le réaliser, une femme de 40 ans qui a perdu son poste initial en devenant mère, un homme de 30 ans sans emploi qui pense avoir échoué sa vie et un retraité de 65 ans qui a l’impression d’avoir perdu son statut social en même temps que son emploi… Autant d’histoires et de souffrances qui peuvent toucher chacun d’entre nous.

Des problématiques pour lesquelles l’auteure – à travers son personnage de bibliothécaire – nous tend des perches afin de nous amener à trouver en nous nos propres solutions, et de nous détacher de nos préjugés. Un roman tout en douceur qui fait réfléchir sur soi-même et amène à (re)prendre confiance !

— On écrit un rêve ou un désir sur un bout de papier, à l’attention des étoiles, et on l’accroche dans les branches de bambou, m’a expliqué le monsieur.

Un rêve ou un désir ? J’ai réfléchi. Lorsque j’ai vu son regard posé avec tendresse sur les papiers multicolores, j’ai compris qu’un livre était certainement une pile de tanzaku, avec les rêves, les désirs des humains reliés les uns aux autres.

Un lundi parfum matcha comprend douze chapitres, comme autant de mois d’une même année. Ce recueil d’histoires douces et réconfortantes où les différents protagonistes se croisent d’une histoire sur l’autre, prend pour point de départ le café Marble. Un café déjà présent dans Un jeudi saveur chocolat, que l’étrange propriétaire ouvre parfois le lundi – son jour de fermeture – en proposant une nouvelle formule. En janvier de cette année-là, il remplace les trois dernières lettres de Marble par tcha… Formant ainsi le café Matcha. Car ce thé vert foncé et épais est un peu à l’image de la vie : amer au premier abord, il sait révéler au fur et à mesure qu’on le boit toutes ses saveurs et réchauffer le cœur de celui ou celle qui le déguste… Surtout s’il est accompagné d’un wagashi, ces ravissantes pâtisseries traditionnelles qui compensent son amertume !

Les éditions Nami, dont le nom (qui signifie vague en japonais) est « le symbole du mouvement perpétuel de la vie », nous offrent des livres venus du monde entier qui sont chargés de nos émotions et de nos défis du quotidien. Une littérature de l’intime mise en avant par de très jolies couvertures et un engagement écoresponsable dans la fabrication des ouvrages.

Peut-être avez-vous déjà repéré, parmi tous ces ouvrages, un ou plusieurs titres qui vous accompagnera en ce milieu de printemps ! Nous espérons en tout cas que cet article vous aura permis de découvrir de nouvelles pépites littéraires et nous attendons avec impatience les prochaines traductions d’Alice HUREAU.

Nina Le Flohic

Grande lectrice passionnée par le Japon depuis ma plus tendre enfance, je suis diplômée d'un master Langue, Littérature et Culture Japonaise. Des études au cours desquelles j'ai eu l'occasion d'effectuer des recherches dans le domaine de la littérature japonaise et de voyager plusieurs fois au pays du Soleil Levant. Très heureuse de pouvoir partager avec vous mes coups de cœur et expériences à travers mes articles, n'hésitez pas à me laisser vos questions ou avis en commentaires, j'y répondrais avec plaisir !

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