Gaming Memories #54 – God Eater

Bienvenue dans ce nouveau numéro de Gaming Memories. Cette fois-ci, nous vous emmenons dans un monde en ruines, terrassé par la mort, la désolation, et par des monstres dont personne ne connait la provenance… un monde futuriste, dans lequel une organisation veille pour protéger les innocents – bienvenue dans God Eater, sorti sur PSP ! Si vous êtes prêts à dévorer du dieu avec nous, empoignez votre arme, et venez lutter à nos côtés dans ce retour en février 2010 !

God Eater Title

Gods in a pocket

A l’origine de God Eater, il y a la société indépendante Shift. Fondée en 1996, elle a longtemps été associée à l’éditeur Namco, puis à Bandai Namco. Elle est responsable de jeux comme les puzzle games Devil Dice et ses « suites » (Xi Jumbo, Xi Colosseum, Boombastic). Elle a également développé des jeux pour Sony Interactive Entertainment, tels que des spinoffs à Ape Escape. Et si de nos jours elle est plus associée au souls-like Code Vein, c’est bel et bien par God Eater que leur aventure dans le RPG a commencé.

On ne sait pas grand-chose de plus sur cette petite entreprise d’une soixantaine d’employés, tout comme la naissance du « Project G.E. » est assez floue. Le nom apparut pour la première fois en juillet 2009, ce qui sous-entend au moins sept mois de développement et nous mène à février 2010 et plus particulièrement le 4, jour de sortie de notre jeu du mois, sur PSP.

It’s the end of the world as we know it

2071. L’humanité est aux portes de l’extinction. Des créatures sorties de nulle part commencent à faire irruption, semant le chaos, la mort et la destruction sur leur chemin. Sans forme particulière au départ, elles sont douées d’une intelligence et d’une capacité d’apprentissage en dévorant tout. Bien vite, elles finissent par décimer un continent entier, avant de se déplacer et de se disperser à travers le monde. Connues sous le nom d’Aragami (荒神, Dieu Violent), ces monstres ne sont pas sensibles aux armes conventionnelles, aussi massives et puissantes soient-elles. Elles sont dépourvues de cerveau, de cœur, ou de colonne vertébrale, et ne sont composées que de milliers de cellules indépendantes, comme des milliers d’organismes à part entière en une seule forme.

L’humanité commence à se rassembler. Dans un monde désormais en ruines, ou le moindre petit abri peut GEdisparaître du jour au lendemain, une organisation nommée Fenrir prépare la défense contre les Aragami. Comment vaincre une entité supposée indestructible, cependant ? Des chercheurs concluent à la solution qu’il faut utiliser leur force contre eux. Ainsi sont créées des armes nommées God arc, composées de cellules d’aragami eux-mêmes. Leurs porteurs, les défenseurs de ce qui reste du monde, se font appeler les God Eaters. Vous êtes l’un d’entre eux, et plus particulièrement le premier des New Types, possédant plus de capacités physiques et d’options avec leur arme.

Vous allez ainsi emménager au Repaire, le quartier général de la branche d’Extrême Orient (Far East) de Fenrir, et faire connaissance des autres God Eaters, des monstres, des lieux. Vous pourrez créer des tactiques de combat et votre propre style pour vaincre la menace. Nul ne sait vraiment d’où proviennent les Aragami, mais divers évènements vont se produire après votre enrôlement. La disparition de camarades de combats… de sombres complots… l’apparition de nouveaux types de monstres… et il paraîtrait même qu’il en existerait un… qui se comporte comme un humain. C’est un combat sans fin pour la survie de l’humanité qui vous attend, et il commence… tout de suite.

Un train de vie bien carré

God Eater a un gameplay de base des plus simples : on se trouve à l’intérieur du Repaire, dans lequel on croise divers personnages à différents endroits au fil du temps. On peut visiter les différents lieux, gérer son inventaire, son équipement, faire des achats, vérifier des informations sur tout ce qui nous entoure ou lire les mails envoyés par nos camarades. Mais surtout, on peut accepter des missions, qui font progresser le scénario ou non.

Les missions libres permettent de choisir jusqu’à trois personnages pour nous accompagner et partir dans différents lieux de la région dans laquelle on se trouve. Ce sont en quelques sortes des mises à l’épreuve perpétuelles pour le joueur car elles le mettent aux prises d’un ou plusieurs types d’Aragami différents à la fois, et pas forcément tous du même genre, demandant donc de s’adapter en fonction des décors et du comportement des monstres. Chaque mission peut durer entre deux et trente minutes selon ce qui se trouve en face de nous.

A la fin d’une quête, on obtient une note en fonction de notre performance, puis retour à la base, où les personnages s’y trouvant auront changé de place, certains seront partis, d’autres revenus. La plupart de ces aventures sont là pour l’action et peuvent être également appréciées avec trois joueurs humains, au contraire des missions « histoire » qui elles, sont entourées de cinématiques narratives et ont, la plupart du temps, des protagonistes imposés à vos côtés. Ramasser des tonnes d’objets au cours des aventures permet de créer ou d’améliorer de l’équipement. On obtient la plupart comme récompense, mais d’autres ne peuvent être glanés qu’en les ramassant. On peut acheter des objets de soin ou des boosts divers (plus de santé, etc).

Don’t run away from living

Se promener bien à l’abri, faire des emplettes et papoter avec les gens c’est bien, mais aller se battre est le vrai cœur du jeu. On a pour cela le choix entre trois types d’armes au corps-à-corps et trois autres d’armes à feu. Chaque type a une caractéristique et un style différents (plus ou moins rapide, donc plus ou moins puissante pour une attaque directe) et fera un type de dégât différent par la même occasion (tranchant, assommant, perçant). C’est une chose importante à prendre en compte, car chaque Aragami a plusieurs parties différentes pouvant être ciblées, et chacune peut être plus sensible à une façon d’attaquer qu’à une autre.

Les armes à feu, quant à elles, font des dégâts d’éléments différents (glace, feu, etc) auxquels les montres GEauront aussi des faiblesses ou indifférences. Chaque type de canon a ses propres munitions (points d’oracle) qui s’utilisent tous d’une façon propre, là encore selon plusieurs propriétés (tirs en ligne droite, laser, etc). Ceux-ci peuvent être restaurés en utilisant un objet précis, frappant un monstre au corps-à-corps ou en le dévorant. Toutes les armes ont deux modes d’assaut différents (un normal et un lourd, ou deux éléments différents) en utilisant les touches carré et triangle. Dans le cas du CàC, on peut mélanger les deux pour former des enchaînements.

Divers objets peuvent être utilisés en cours de mission pour se booster à sa volonté – augmenter sa jauge de vie comme dit plus tôt, mais aussi échanger de la santé contre de l’endurance ou inversement. Des pièges peuvent être posés pour entraver les monstres, ainsi que des grenades stun qui les immobiliseront un court instant. On peut se mettre en défense derrière un bouclier, qui se déclinent là encore en trois versions différentes (défense plus lourde mais plus lente à mettre en place, défense rapide mais perte de plus de points de vie, ou mix), et consomment de l’endurance, tout comme le fait de sauter ou dasher (pour courir plus vite). Celle-ci remonte naturellement mais si elle se vide, votre personnage sera immobile pendant un court instant.

N’oublions pas ce qui fait la particularité de God Eater, ce qui à donné son nom à la série bien évidemment : la possibilité de dévorer ses ennemis. En effet, en se concentrant un instant (maintenir la touche triangle), une créature sort de l’arme des God Eaters et en la relâchant, elle croquera un monstre, permettant de récupérer des balles d’oracle, et le faire passer en mode Burst. Là, les dégâts qu’il infligera seront plus élevés, il pourra effectuer un double-saut et bien d’autres capacités à s’équiper pourront être effectuées durant un court laps de temps. L’entraide entre combattants est cruciale et se fait au fil d’interactions (relever un allié tombé, tirer des balles de soin, etc), et bien que le jeu récompense quelqu’un faisant une mission seul avec une meilleure note, c’est bel et bien en équipe que tout prend son sens.

Au menu ce soir : des dieux !

Après cette séquence d’introduction plutôt cool, le jeu s’ouvre sur un programme de création de personnage. Un certain nombre d’options sont à la disposition du joueur, comme des types de visages, coiffures et couleurs. Les choix ne sont pas des plus nombreux et au contraire d’autres, comme le ténor dans le domaine à cette époque Phantasy Star Portable, il n’est pas possible de modifier la corpulence ou taille. Le character design du jeu est cependant accrocheur, donnant des personnages charismatiques, et ses options suffisantes pour ne pas ressembler à la personne à côté de soi.

Une fois arrivé en jeu, on constate des graphismes corrects, pas magnifiques mais suffisants et sans trop de défauts et de textures baveuses. La PSP peut faire mieux, mais peut aussi faire bien pire. La taille des personnages à l’écran est correcte, bien que la caméra soit peut-être un peu trop proche pendant les batailles. Pas que cela ne soit une question de plan trop rapproché, mais plutôt que les monstres sont parfois très rapides et sautent sur nos héros à toute vitesse ! Les cinématiques, quant à elles, sont dans les mêmes graphismes que le reste du jeu, donc pas de vidéos en images de synthèse toutes belles pour un rendu global « tout moche ». Le jeu est juste correct et loin d’être déplaisant à regarder. Certains monstres, quant à eux, sont assez massifs et volumineux, et même lorsque l’on doit en combattre plusieurs, il n’y a pas de ralentissements à signaler.

On pourrait cela dit reprocher à certaines animations d’être un peu lentes. Si le jeu réagit vite et sans problèmes, on détestera la lenteur que met notre personnage pour prendre une pilule de soin ! Les monstres n’attendront pas bien sagement pour nous attaquer en pleine animation, ce qui en plus de la vitesse des différents équipements, demande de bien calculer ses mouvements en pleine action. On finit par prendre le pli et s’y habituer, tout comme à la maniabilité globale (qu’il est malheureusement impossible de modifier), mais les échecs seront réguliers le temps de s’y faire. Viser correctement en plein feu de l’action avec les touches directionnelles n’est pas pour tout le monde, mais c’est un problème de tout jeu de ce genre sur une console qui ne possède qu’un seul stick analogique.

D’autant plus que le challenge est bien là. Si certaines missions ne sont que des promenades de santé pas GEbien compliquées, d’autres pourront rebuter et demander de redoubler d’efforts pour s’en sortir. Alors bien sûr, se faire abattre n’est pas fatal (on peut être incapacité plusieurs fois avant que la mission échoue), mais l’aspect tactique n’est jamais à ignorer. Le problème, peut-être, est que même si cette difficulté est progressive, certaines missions sont soudainement bien plus (trop) difficiles que les précédentes, et redeviendront facilement abordables au bout d’un moment. Ici, pas de leveling pour surpasser les ennemis et les détruire en trois attaques… il faut savoir se surpasser soi-même pour s’en sortir.

Ce qui fait qu’au final, ces quêtes à la difficulté et durée variables sont en quelques sortes des mises à l’épreuve permanentes pour le joueur. Chaque monstre a ses forces et faiblesses, mais aussi sa façon d’agir. Certains sont plus agressifs que d’autres, ou auront des attaques plus rapides, des assauts soudains et surprises, et il faut donc absolument étudier la façon d’agir de chaque type de créatures pour être le plus efficace possible. Les décors visités différents sont assez peu nombreux mais offrent tous une topographie différente, qui peut aider ou au contraire rendre les choses plus compliquées. Les personnages qui nous accompagnent, quant à eux, ont également leurs façons de faire. Soma a tendance à foncer tête baissée mais sait survivre et frapper fort ; Sakuya reste en retrait et tire des balles de soin autant que nécessaire ; Kanon ne sait pas viser et tire avec un canon massif qui touchera aussi le joueur qu’elle blâmera d’être dans sa ligne de mire, alors qu’elle s’est elle-même placée derrière vous… chacun pourra faire la différence dans une mission.

Le jeu est rapide, réactif mais pas au point de pouvoir faire n’importe quoi « et ça passe quand même ». L’action est peut-être un peu répétitive en elle-même (rapprochant plus le jeu d’un hack’n’slash), mais donne une action soutenue qui demande une concentration de tous les instants. D’un côté, savoir que les coups que l’on porte à ces monstres géants les font se replier, ou voir toutes les giclées de sang qui en sortent sous nos assauts ou lorsqu’on les dévore a quelque chose de défoulant. La caméra, quant à elle suit bien l’action voire un peu trop, et il faut parfois (assez souvent) s’accrocher pour savoir où est passée notre cible, tant ses mouvements sont rapides. Réaffirmer le ciblage et replacer la caméra correctement arrive souvent, ce qui ajoute un brin de challenge pas vraiment bienvenu…

GE

Bonjour grosse bébête, tu vas bientôt te faire dévorer

Tout cela est rythmé par un ensemble sonore de qualité. Couvrant toutes les cinématiques et personnages lors des missions, on retrouve dans le doublage japonais des noms comme Maaya SAKAMOTO (Alisa), Kazuya NAKAI (Soma, voix de Zoro dans One Piece) ou encore Sayaka OHARA (Sakuya, également Erza Scarlet de Fairy Tail), qui contribuent à donner une identité aux personnages. Le thème principal, Over the Clouds, est interprété par la chanteuse Alan, qui signe une mélodie quelque peu surprenante pour un jeu de ce genre mais diablement accrocheuse. Tout ceci est orchestré par le compositeur Go SHIINA (Tekken, Tales of, Idolmaster…). Il offre une bande-son des plus magistrales, entre différents genres et instruments et souvent chantés (avant même que cela ne devienne la norme dans ce genre de jeux), qui intensifie et magnifie toutes les situations possibles.

Si le jeu comporte un grand nombre de missions annexes, la partie principale n’est pas en reste grâce à un scénario captivant, qui ne manque pas d’osciller entre tristesse, éléments un peu malsains, complots et moments plus légers, plus chaleureux. Plusieurs dizaines d’heures seront nécessaires pour voir le fin mot de l’histoire, et comme dans tout jeu de ce genre, cette durée dépendra de l’envie du joueur de passer plus ou moins de temps, et également sa capacité à se défaire de ses opposants. Comme dit plus tôt, la difficulté est assez étrangement dosée, avec des missions parfois soudainement bien trop difficiles par rapport aux précédentes, avant de redevenir aisées juste après…

GE

L’avatar créé pour la rédaction de ce nuémro.

Rise above a world of desolation

God Eater reçut des avis moyennement positifs à l’époque, généralement juste un peu au dessus de la moyenne. Un peu moins de trois-cent mille copies se sont vendues au Japon lors de sa première semaine, chiffre qui a été doublé en une année. Cela lui a valu de voir arriver une version améliorée, nommée God

GE MAG

Une couverture du magazine officiel… oui, c’est réel !

Eater Burst, en octobre 2010. Celle-ci ajoutait de nouvelles fonctions, quelques améliorations, et un opening un peu différent pour mieux coller aux évènements de cette production : en effet, GEB contient un second « épisode », qui se trouve tout simplement être un deuxième jeu qui fait suite directe au premier. Cerise sur le gâteau : les possesseurs du titre original pouvaient télécharger une mise à jour ajoutant la deuxième partie et toutes ses nouveautés ! Au total, ces deux moutures de l’opus fondateur ont dépassé le million de ventes dans l’archipel.

C’est cette version qui fut publiée dans le reste du monde : renommée Gods Eater Burst (en gagnant un –s à God, semblerait-il pour éviter toute référence à un quelconque dieu), le jeu est traduit en anglais aussi bien pour les voix et textes (qui sont minuscules à l’écran), qui sont d’ailleurs de bonne qualité.

God Eater 2 suivit en novembre 2013 sur PSP et PSVita. Nouvelle histoire, nouveaux personnages, le tout pour un jeu assez similaire au premier (avec quelques nouveautés de gameplay, nouveaux lieux bien qu’on soit dans la même région, etc) – et qui eut lui aussi une version améliorée, nommée God Eater 2 Rage Burst et sortie sur Vita, PS4 et PC (Steam) en 2015. A nouveau, le jeu d’origine est resté au Japon, alors que Rage Burst (qui contient un second épisode) s’offrira au monde entier. L’histoire se répète… mais GE2RB s’avère aussi être un cadeau absolu pour les fans, à sa façon : il contient deux jeux pour le prix d’un.

En effet, si au pays du soleil levant c’est un jeu physique à part entière, God Eater Resurrection est pour le reste du monde un produit téléchargeable et offert pour l’achat de GE2RB, et quel produit ! Graphismes améliorés et modèles 3D des personnages et monstres revus, certains doublages refaits, textes traduits dans plusieurs langues dont le français, ce mélange entre le remaster et le remake de l’épisode fondateur ajoute de nouvelles mécaniques aussi bien de combat (qui le rendent encore plus fou et intense) que de customisation (qui l’éloignent d’un jeu au farming plus prononcé) ; un troisième arc scénaristique vient s’ajouter pour le conclure définitivement. Quatre jeux pour le prix d’un seul, et Resurrection est tout simplement une version ultime, celle par laquelle il faut absolument passer si l’on veut essayer la première aventure des God Eaters.

Nous passerons rapidement sur quelques autres apparitions au cours des années car elles sont restées confidentielles au Japon. Mais un opus sur mobile, quelques mangas, des nouvelles, ainsi qu’un MMORPG à la durée de vie malheureusement très courte sortirent. Mentionnons des apparitions dans d’autres jeux comme Project X Zone, il semblerait même que quelques magazines dédiés ont vu le jour. Mais on retiendra surtout l’anime, diffusé lui aussi en 2015 et disponible en DVD et Blu-ray chez Kazé en France. N’adaptant qu’une partie du scénario du jeu (13 épisodes), il a un ton plus dur et dérangeant, où l’on sent encore davantage l’épée de Damoclès audessus de la tête des protagonistes. On fera mention, pour finir, d’un God Eater 3 sorti en 2017.

Au final, si God Eater est loin d’être dénué de défauts, il n’en reste pas moins un titre accrocheur qui ne dépend pas que de son joli emballage visuel et sonore. Les batailles sont épiques, les monstres marquants et il est défoulant sans être dénué de tactique. Au final, soit on adorera, soit on détestera en préférant aller vers la concurrence. Mais dans tous les cas, la première pierre d’un petit édifice qui créera une fanbase bien solide par la suite est posée et celle-là, aucun Aragami ne la dévorera.

Et la prochaine fois, nous accompagnerons une petite valkyrie dans ses aventures… hm ? Nous l’avons déjà fait il y a longtemps ?  Vous verrez bien. A bientôt !

Captures d’écran prises par JDJ. Crédits des autres visuels : Tous droits réservés ©Shift ©Bandai Namco

2 réponses

  1. Doc dit :

    Mais… 2010 ?! Je ne sais pas pourquoi mais je voyais cette licence moins vieille ‘^^
    C’est une série que j’hésite à me faire depuis pas mal de temps, il faudra que j’y passe un jour. Ou au moins que je me fasse l’animé.
    Merci pour ce dossier, comme toujours !

    • Merci 🙂
      Je pense que God Eater a commencé à se faire un peu plus connaître avec le troisième (2017), mais je ne suis pas sûr.
      Pour avoir revu l’anime dans la foulée, il vaut le coup bien que comme dit dans l’article, le ton est un peu différent, il n’adapte qu’une très infime partie du jeu aussi, mais je dirais qu’il est vraiment « cool ».

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