[Interview] Tokyo, le Petit Atlas Hédoniste de Johann Fleuri
Rencontre avec Johann Fleuri, l’autrice de Tokyo, Petit Atlas Hédoniste, le nouveau must-have pour tous les amoureux du Japon et les futurs voyageurs.
Nunaya : embarquement pour la Corée du Sud et le Japon
Nunaya, youtubeuse, présente son nouveau livre « Découvre le Japon et la Corée avec Nunaya » aux éditions Fleurus et raconte à Journal du Japon son parcours sur place.
[Attentes Goodies & Figurines] Un démarrage en beauté pour la nouvelle année !
Les attentes Goodies & Figurines de la rédaction de JDJ pour cette nouvelle année 2021 avec un beau démarrage !
Portrait : On l’appelait Scorpion.
Meiko Kaji, ça vous dit peut-être quelque chose: on vous dresse, le portrait de la Femme Scorpion dans nos pages cinéma.
[Attentes Manga] En janvier, on repart sur une nouvelle fournée de mangas !
Voici donc les attentes manga de l’équipe de Journal du Japon pour le mois de janvier 2021. Que des nouveautés : suivez le guide !
![[Attentes Mangas] En janvier c’est reparti pour une année de mangas !](https://www.journaldujapon.com/wp-content/themes/hueman/assets/front/img/thumb-medium-empty.png)
[Attentes Mangas] En janvier c’est reparti pour une année de mangas !
Voici venir l’heure des nouveautés mangas du début d’année avec la sélection de l’équipe de Journal du Japon pour Janvier ! Après l’année un peu compliquée qui vient de s’écouler, repartons donc sur de bonnes bases, voici les titres qui attirent dores et déjà le regard.
Gaming Memories #35 – Ryu ga Gotoku (Yakuza)
Bienvenue dans ce 35e et dernier numéro 2020 de Gaming Memories avec des intrigues dignes de polars, des personnages charismatiques, des bastons brutales, le tout dans un Japon contemporain avec un thème assez peu exploité dans le jeu vidéo : sa pègre. Equipez-vous bien et direction décembre 2005 pour découvrir la saga Yakuza
Millennium Actress : une course sans fin
Millennium Actress débarque enfin en blu ray chez Septième Factory. Un bien bel écrin pour profiter de cette version restaurée d’un film bien trop souvent resté dans l’ombre du génial Perfect Blue. Un comble pour un long métrage qui se révèle par bien des aspects au contraire comme le pendant lumineux de ce dernier, et la quintessence tant formelle que thématique de l’art de Satoshi KON.
