Catégorie : Classiques Cinéma
Tokyo : The Last Megalopolis. Adapté d’un livre culte ayant engendré de nombreuses adaptations sur divers supports, voici une oeuvre particulièrement ambitieuse, dont la transposition cinématographique mérite d’être évoqué à travers sa genèse, ses qualités comme ses défauts et son important héritage. Venez la découvrir.
Retour sur l’un des plus célèbres longs métrages de Kiyoshi KUROSAWA. Sorti en 2001, Kaïro est un yūrei eiga atypique, qui reste aujourd’hui une réussite miraculeuse dans le genre encore très mal exploité de l’horreur informatique.
À l’occasion de la vingt-deuxième édition de L’Étrange Festival, qui diffusait cette année en exclusivité deux titres issus du programme de reboot du roman porno par les studios de la Nikkatsu, Journal Du Japon vous propose un cours de rattrapage en cinéma érotique japonais.
Si Ryū MURAKAMI est davantage reconnu comme auteur qu’en tant que cinéaste, son œuvre a servi de support à nombre d’adaptations cinématographiques, et l’auteur a su marquer l’Histoire du cinéma japonais avec l’enivrant brûlot érotique Tokyo Décadence, sorti en 1992.
Surtout connu du grand public occidental pour son adaptation du roman Battle Royale de Kōshun Takami sorti en 2000, Kinji FUKASAKU est un immense réalisateur ayant marqué l’histoire du cinéma japonais à travers une carrière prolifique comptant de nombreux chef d’œuvres mais aussi quelques curiosités. La légende des huit samouraïs appartient à cette seconde catégorie, mais n’en demeure pas moins intéressant… à plus d’un titre.
Pendant une semaine au début du mois de février dernier, le cinéma L’Écran à St-Denis est devenu, à travers une rétrospective de 80 films censurés, autocensurés ou interdits et couvrant plus d’un siècle de cinéma et de mentalités, le théâtre de ces images qui effraient gouvernements et bonnes mœurs. De la censure soviétique aux pressions contemporaines des autorités chinoises en passant par le Code Hays aux États-Unis et les non-dits de l’époque coloniale et de la guerre d’Algérie pour notre douce France, nul n’est épargné par le doigt moqueur de la superbe programmation concoctée pour cette 16e édition.
Encore trop souvent, le film Furyo de Nagisa ŌSHIMA n’est présenté que comme étant « un film avec David BOWIE » ; et cela étant d’autant plus vrai depuis que celui que l’on appelait Ziggy Stardust ou le Thin White Duke nous a quitté. Cette appellation quelque peu réductrice ne rendant pas vraiment à ce chef-d’œuvre intemporel du cinéma les honneurs qu’il mérite, l’heure est venue – après l’hommage rendu à l’artiste – d’approfondir l’œuvre.
À l’occasion de la diffusion au Festival Kinotayo du remake signé Shin’ya Tsukamoto, Journal du Japon vous propose de confronter ce remake a son prédécesseur… Les classiques de Kikuchiyo reviennent sur la première adaptation du roman de Shōhei ŌOKA par le cinéaste Kon ICHIKAWA sorti en 1959 et qui demeure plus de 57 ans après sa sortie en salles une œuvre importante. Voici de quoi faire la comparaison…